Page:Aimard - Les invisibles de Paris, 1893.djvu/337

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Me prenant dans ses bras, il m’emporta, c’est à peine si j’osais respirer.

« J’étais enchantée de ma trouvaille.

« Le roi des bohémiens ne partageait ni mon extase ni mon ravissement.

« — Mauvaise marchandise, murmura-t-il entre ses dents, après un mûr examen. Qu’est-ce que je pourrai bien faire de ce paquet-là ? Ça n’a plus que le souffle.

« Mais la petite blondinette était si gentille !