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Page:Aimard - Les invisibles de Paris, 1893.djvu/45

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être lui refuser, sauta à bas de son siège, se précipita et vint barbouiller de baiser les joues et le front de la jeune femme.


Une main puissante la saisit par la ceinture et l’attira en arrière.

Mais, au grand étonnement des deux hommes, la mère ne se réveilla pas sous les caresses de l’enfant.

— Maman ! maman ! réveille-toi donc ! c’est moi ! Georges !… ton petit Georges !… Tu ne veux pas m’écouter ? Je vas pleurer.