Page:Aimard - Les invisibles de Paris, 1893.djvu/454

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Elle aida Mme de Casa-Réal à revêtir son costume masculin.

La porte s’ouvrit.

M. Bergeret parut.

Sa femme se précipita au-devant de lui ; elle allait l’embrasser comme à l’ordinaire, mais la préoccupation, la tristesse peintes sur le visage de son mari l’arrêtèrent.

Ses pieds se sentirent instinctivement cloués au plancher de son salon.