Page:Aimard - Les invisibles de Paris, 1893.djvu/734

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


La jeune femme, assise devant un guéridon, cousait à la lueur d’une lampe.

Le voyageur sourit gravement.

— Touchez-là, lui dit-il.

Ils se prirent la main et se la serrèrent d’une façon particulière.

— Bien. Nous nous entendons ?

— Oui.

— Causons à cœur ouvert.