Aller au contenu

Page:Aimard - Les invisibles de Paris, 1893.djvu/846

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


— Qu’avez-vous, mon ami ? lui demanda son compagnon.

— Je suis fâché de n’avoir pas songé tout à l’heure à examiner moi-même, et à essayer de reconnaître cet homme.

— Il n’y a rien de perdu, mon colonel, j’y ai songé pour vous.

— Petit diable !… tu l’as reconnu ?

— Moi…, pas le moins du monde.

— Ah ! eh bien ?