Page:Aimard - Les invisibles de Paris, 1893.djvu/854

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du corps ordinaire, il s’avança à grands pas au-devant du cavalier, accourant toujours à toute bride.


— Arrêtez, au nom du ciel ! ne buvez pas ou vous êtes morts !

À l’extrême limite de l’horizon, on commençait à apercevoir un épais nuage de poussière, soulevé probablement par les pas pressés d’une nombreuse caravane.

Au moment où le vicomte de Luz atteignait la dernière tente, le cavalier entrait, ventre à terre, dans le camp.