Page:Aimard - Les invisibles de Paris, 1893.djvu/862

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gaillard d’avant, où à son tour il échangea quelques brèves paroles avec les matelots de quart.


De ce monticule le jeune homme examinait attentivement la prairie.

Cela fait, il retourna tranquillement à son poste au pied du grand mât.

Peu à peu, les matelots de quart s’affalèrent silencieusement les uns après les autres par les panneaux.

Il ne resta sur le pont que :