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UN HOMME, à voix basse.
Pourquoi pleure-t-on ?
UN AUTRE.
Comment veux-tu le savoir ? Les boyards le savent, eux. C’est bien autre chose que nous.
LA FEMME, à son enfant.
Eh bien, quand il faut pleurer, tu te tais maintenant. Attends un peu, le Bouka va venir. Pleure donc. (L’enfant sanglote.) À la bonne heure !
UN HOMME.
Ils pleurent tous. Mettons-nous aussi à pleurer, frères.
L’AUTRE.
Je n’ai pas de larmes. Mais qu’est-ce qu’on crie encore ?
LE PREMIER.
Comment le deviner ?
TOUT LE PEUPLE.
La couronne est à lui. Il consent. Boris est notre tzar. Vive Boris !
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