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L’ARROSEUR

Vous auriez accepté, n’est-ce pas ? Moi aussi.

Le déjeuner eût été tout à fait charmant, si cette diablesse de femme n’avait pas eu l’idée de me faire manger avec tout mon attirail sur le corps.

Non !… tu es beau comme ça !…

— Vous êtes bien plus joli comme ça ! Restez comme ça !

Après déjeuner :

— Venez vous laver les mains dans mon cabinet de toilette.

Nous montons, et, en moins d’une minute, voilà ma comtesse passée dans un peignoir des plus suggestifs.

Les bras étendus vers moi, elle crie :

— Viens !

Pour le coup, je me crois autorisé à enlever mes instruments de musique. C’était vraiment l’occasion, avouez-le !