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alliances inattendues de la nature avec la destruction, cette architecture de toutes parts brisée et interrompue, nous causent un enchaînement poétique de surprises qui nous font éprouver sous mille formes le sentiment de l'infini. Nous avons vu, en effet, par les analyses précédentes que cette harmonie est réveillée par tout ce qui semble ne pouvoir finir, faute de bornes visibles (1). On ne saurait visiter les ruines d’un monastère, sans méditer sur le but proposé au delà du tombeau à ceux qui, dès cette vie, sont morts à eux-mêmes et au monde. Au milieu de ces témoignages de fragilité tout parle de choses célestes. L’idée de l’immuable et de Y éternel est attachée au brin de mousse qui rampe à la place où fut l’autel (2).
CHAPITRE VII. Une armée rangée en bataille.
Ceux qui vont en venir aux mains sont inconnus les uns aux autres. Ils frapperont sans haine:
(1) Idée d’infini. (2) Idée d’éternité.
