(1752) ; Zalmire et Almanzine (1753) ; Mémoires de la comtesse de Zurlac (1755) ; Réflexions et avis sur les défauts et ridicules à la mode (1761) ; Alzarac (1762) ; l’Histoire de Mlle de Theuille (1768) ; Mémoires d’un homme de bien (1768) ; le Marquis à la mode, comédie en trois actes.
Puis il ne fut plus question d’elle.
— Les talents chassent l’ennui.
— Les choses trop connues perdent de leur valeur ; on a une espèce de vénération pour celles qui sont rares. Voulez-vous être longtemps belle, montrez-vous rarement. Voulez-vous inspirer l’envie de vous connoître, rendez votre connoissance difficile ; les plus belles perdent beaucoup il être trop connues.
— Ne tirez jamais le voile tout à fait sur vos qualités ; c’est au temps à le lever entièrement, laissez-le faire.
— Que votre société soit douce ; ne faites point sentir votre supériorité. L’esprit, les talents, le mérite, le rang et la fortune, sont pour les autres un, poids assez pesant sans l’augmenter de celui de l’ostentation.
— Faites rarement les avances : prévenir certaines gens, c’est leur ôter l’envie de se lier.
— Quoique l’on dise que les personnes qui parlent bien n’ennuient jamais, la grande volubilité de langue étourdit toujours.