— En tournant les phrases par ĉu (est-ce que)…
— … à moins que des fois tu te trouves en présence de « kiu, kio », ou d’une espèce de mot comme ceux-là, qui commencent par un k et qui font déjà la question ! Quand j’ te dis : Quoi t’est-ce que tu payes ? c’est comme si je te déposais la demande : Quoi qu’ tu payes ? je mettrais « kio » el ça suffit.
— Compris ! si j’ vois un mot comme ça pour questionner, j’ n’essayerai pas à placer ĉu.
— Et puis-z-à présent, dis-moi d’où est-ce que vient le deminutif « et » ?
— …
— Si t’étais plus malin, tu dirais : Parbleu, cap’ral Bourrache, mais du français, vu que l’aut’ jour dans votre chanson, vous disiez « ma pauvrette » et que vous parliez d’une petite pauvre !
— Ah ! oui.
— Pour lors, si t’as introduit çà dans ton çeboulot, on va passer à aut’ chose. Comment que tu traduirais : Le compte-rendu de la fête ?
— La…
— … raporto…
— La raporto de la festo.
— Sacré bougre de tourte ! J’ai envie de « t’affliger » deux jours ! Et ton accent to-