Page:Andry de Boisregard - De la Génération des vers, 1700.djvu/233

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dont nous avons parlé au Chapitre troisiéme ; & dans l’Afrique, où les Negres sont sujets à des vers, qui leur viennent ordinairement aux cuisses & aux jambes, dont quelques-uns sont longs d’une aulne, d’autres de deux, & quelquefois de trois ; nous en avons parlé au même Chapitre.

Pour revenir au Solium, je ne sçache point d’autres signes, ausquels on le puisse découvrir, que ceux que j’ay rapportez ; ce ver a cela de particulier, qu’étant engendré en nous dés le ventre de la mere, il est impossible de nous en garantir, mais nous pouvons quelquefois nous garantir des autres, parce qu’ils ne s’engendrent pas toujours en nous avant nôtre naissance. Nous en allons marquer les moyens.

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