Page:Andry de Boisregard - De la Génération des vers, 1700.djvu/297

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ple d’Apollon étoient suspenduës des pincettes de plomb à arracher les dents, afin de nous marquer par-là, dit-il, que lorsqu’on les veut enlever, il faut qu’elles se puissent ôter sans effort.


Contre les Pulmonaires.

Les vers, qui s’engendrent dans la poitrine, & qui causent des toux violentes, ainsi que nous l’avons observé ailleurs, sont tres-difficiles à chasser ; il y a un remede cependant que divers Medecins ont éprouvé heureusement, pour les faire sortir par le cracher ; c’est de donner au malade du suc de marrube mêlé avec un peu de miel, & de lui faire succer un peu d’oxymel scyllitique en forme de looch.


Contre les Epatiques.

Il n’y a rien de meilleur contre les vers du foye, que de prendre plusieurs matins de suite dans un boüillon douze grains de poudre de cloportes.