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Soit que le bon été réchauffe tout

De vie et de lumière,

Ou que l'hiver hurle en rafales orageuses,

Toute la longue et sombre nuit.

La Muse, nul poète ne la trouva jamais,

Tant qu'il n'apprit pas à errer seul,

Le long des méandres d'un ruisseau trottant.

Sans trouver longues les heures :

Oh ! il est doux de vaguer, de rêver, de méditer

Une chanson que le cœur ressent I ^

Epistle lo William Simpson.