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9. On peut, avec Mme C. Michaelis de Vasconcellos, diviser cette littérature d’une manière plus précise d’après les règnes d’Alphonse X et du roi Denys : période préalphonsine (1200-1248) ; période du roi Alphonse (1248-1280) ; période du roi Denys (1280-1325) ; période postdionysienne (1325-1350). Grundriss, II, 2, p. 179. Cf. encore de Mme de Vasconcellos, Randglossen zur altportugiesischen Liederbuch (In Zeitschrift für rom. Philologie).

10. « Époque provençale ». Grundriss, II, 2, p. 143.

11. Cf. Mme de Vasconcellos, loc. laud., p. 188, et suiv.

12. Lang, op. laud., no 63 ; ibid., no 3.

13. Ibid., no 59.

14. Ibid., no 16.

15. Ibid., no 73.

16. Ibid., no 43.

17. Voir sur ce point important que nous ne faisons qu’indiquer ici : Jeanroy, Origines, p. 308-338 (La poésie française en Portugal). M. Jeanroy combat l’origine populaire de la lyrique portugaise, défendue par la plupart des critiques qui se sont occupés avant lui de la question et en particulier par M. Th. Braga. Cf. enfin la conclusion de l’étude de M. Lang, op. laud., p. cxlii-cxlv.

18. Ici encore nous ne citerons, en fait de bibliographie, que l’indispensable.

W. Scherer, Geschichte der deutschen Litteratur, 2e édit., Berlin, 1884.

Kock et Vogt, Geschichte der deutschen Litteratur, 2e éd., Leipzig.

Textes : Des Minnesangs Frühling, Berlin, 1888 ; K. Pannier, Die Minnesänger, Gœrlitz, 1881.

A. Lüderitz, Die Liebestheorien der Provenzalen bei den Minnesingern der Stauferzeit, Berlin, 1902. (Autre édition plus complète dans les Literarhistorische Forschungen, Berlin, 1904.)

A. Jeanroy, Origines, p. 270-307.

19. Scherer, op. laud., p. 202.

20. Jeanroy, Origines, p. 285-286.

21. Lüderitz, op. laud., p. 5 et suiv. Aux « médisants » (lauzengiers) correspondent chez les Minnesinger les lugnære, merkære.

22. Diez, Poesie der Troubadours, p. 239. A. Lüderitz, op. laud., p. 26.

Diez, après avoir établi une série de rapprochements entre la poésie lyrique provençale et celle des minnesinger, ajoute que cette ressemblance n’est pas due à l’imitation, mais qu’elle est due aux idées du temps et au caractère particulier de la poésie amoureuse. (Diez, Poesie der Troubadours, p. 240.) Cette raison n’est certainement pas suffisante, quoiqu’elle explique bien des choses.

Diez le premier, Bartsch ensuite ont relevé les imitations for-