Est-ce assez, ma caillou ?
Oui.
Lé petit a dit oui.
C’est heureux.
Marché conclu.
Touchez-là. (Cocardasse regarde la main sans la prendre ; puis il frappe sur la poignée de son épée ; mouvement de Peyrolles.)
Voilà le tabellion qui me répond de vous, mon bon. (Il le salue avec affectation ; tous l’imitent.)
Si vous le manquez, rien de fait.
Cela va sans dire. (Peyrolles sort, tout le monde part d’un grand éclat de rire.) Du vin ! à boire ! (Staupitz, Pinto et Faënza ont accompagné Peyrolles jusqu’à la porte, en faisant force saluts ironiques.)
Scène V
et ses hommes.
À l’aide à l’aide !
Quéz à quo ?
Ce sont des partisans qui viennent fourrager dans les fossés du château.
Ils sont hardis ces drôles ! combien sont-ils ?
Trois… quatre… six… huit…
Juste autant que nous, on pourrait rire un peu.
Justement, je commençais à m’ennuyer. Les voilà.