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ANALITIQUE.
Égalant donc successivement chacun de ces facteurs à zéro, on a,
[1] ;
d’où on tire :
:
telles sont les deux racines qui doivent résoudre la question proposée.
3. La première est toujours positive.
La seconde peut être positive, négative ou nulle, suivant que est ou ; ou, ce qui revient au même, suivant que
est ou .
Sur quoi nous remarquons que, si est aigu, peut être ou ; mais que, si est droit ou obtus, doit être nécessairement ; donc, si est aigu, peut être, ou ; tandis que, si est droit ou obtus, doit être nécessairement On raisonnerait de même pour .
Supposons successivement
1.o Si est on a ; donc peut être aigu, obtus ou droit, et est nécessairement aigu.
Dans la figure 1, on a et obtus.
Dans la figure 2, on a et aigu.
Dans la figure 3, on a et droit.
2.o Si est on a < ; donc peut être aigu, obtus ou droit, et est nécessairement aigu.
Dans la figure 4, on a et obtus.
Dans la figure 5, on a et aigu.
Dans la figure 6, on a et droit,
3.o Si on a aussi ; donc ou son égal est nécessairement aigu.
Dans la figure 7, on a et ou aigu.
- ↑ À cause de .
(Note des éditeurs.)