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DES CORPS CÉLESTES.
condes différences des longitudes et des latitudes observées : ainsi, encore ici, deux observations suffiront pour résoudre complètement le problème.
XIII. Pour compléter cette théorie, il nous reste encore à examiner deux cas : ce sont 1.o celui où l’astre observé serait dans une immobilité parfaite ; 2.o celui où son mouvement serait à la fois rectiligne et uniforme. Dans le premier cas on a, à la fois,
et comme les équations du mouvement sont en général
on voit qu’elles ne peuvent être satisfaites qu’autant que est infini, c’est-à-dire, qu’autant qu’une au moins des trois coordonnées est elle-même infinie.
Les équations (7, 8) deviennent simplement dans ce cas
d’où on tire
si donc ni ni ne sont infinis, c’est-à-dire, si n’est pas zéro, on devra avoir
d’où