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QUESTIONS
d’où M. Bérard conclut que cette courbe n’est ni rectifiable ni quarrable.
M. Bérard passe ensuite de l’équation (2) à l’équation en coordonnées rectangulaires ; il suffit pour cela de poser, comme l’on sait,
d’où
Par toutes ces substitutions, l’équation (2) devient
(3)
Cette dernière équation, un peu plus simple que celle de M. S., n’en diffère pas essentiellement, et s’y ramène sur-le-champ, au moyen de la formule connue
En différentiant la première des équations (3) on obtient
équation qui, comme l’observe M. Bérard, pourra servir à mener des tangentes à la courbe et à discuter ses points singuliers.