6. Dans le cas où le développement se termine, et où conséquemment on a simplement
d’où l’on voit qu’alors doit être exactement divisible par ; et dans le cas où ce développement est immédiatement périodique, et où conséquemment on a simplement
d’où l’on voit qu’alors doit être exactement divisible par Ainsi, 1o. lorsque le développement de la fraction génératrice se termine, son dénominateur est diviseur exact de quelque puissance de la base de ce développement, c’est-à-dire, qu’il ne contient aucun facteur premier étranger à cette base ; 2o. lorsque ce développement est immédiatement périodique, le dénominateur de la fraction génératrice, premier à la base, est nécessairement diviseur exact de quelque nombre moindre d’une unité qu’une puissance de cette base.[1]
7. Soit toujours et étant les mêmes que ci-dessus (5). Soit la moindre des puissances qui soit divisible par C et soit la moindre des puissances de ce même nombre qui, diminuée d’une unité, devienne divisible par ; il suit de ce qui a été dit ci-dessus, que le développement de suivant la base ne pourra avoir moins de termes avant la première période, ni moins de termes à chaque période. Nous allons prouver de
- ↑ De là résulte ce théorème : et étant deux nombres entiers premiers entre eux, l’équation
est toujours résoluble en nombres entiers.