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PARALLÉLOGRAMME

ou(5)

prenant ensuite la somme des quarrés des équations (1, 2) et ayant égard à celle-ci, il vient

ou

c’est-à-dire que la résultante de deux forces perpendiculaires l’une à l’autre est représentée en intensité par la diagonale du rectangle dans lequel deux côtés d’un même angle représentent les intensités des composantes[1].

  1. On parvient aussi assez simplement à cette première relation ainsi qu’il suit : soient décomposées chacune en deux forces, l’une suivant et l’autre perpendiculaire à sa direction ; soient les composantes respectives de suivant et soient leurs composantes perpendiculaires à sa direction ; les trois systèmes

    sont évidemment des systèmes semblables, dans lesquels conséquemment les puissances homologues, qui sont ici celles de même rang, doivent être proportionnelles. On a donc

    c’est-à-dire,