GÉOMÉTRIE DE LA RÈGLE.
du XI.e volume de ce recueil, des deux théorèmes énoncés
à la page 289 du IX.e volume du même recueil ;
de mathématiques spéciales.
J’ai été bien surpris, mon très-cher ami, en lisant le dernier numéro de votre excellent recueil, de voir que vous aviez vainement cherché des démonstrations purement géométriques pour les deux théorèmes énoncés à la page 289 du IX.e volume ; et que vous incliniez même à penser que toute autre voie que celle que vous avez prise ne pourrait conduire que très-difficilement au but. La vérité est que dès que les énoncés de ces deux théorèmes me
réellement ; et demander, en conséquence, quel mouvement il attribuera au point Il est clair que les divers problèmes qui viennent d’être résolus ne sont que des cas particuliers de celui-là.
Dans ce cas, et dans celui où le point se croit immobile, au lieu de supposer connus les mouvemens effectifs des points , on pourrait supposer que l’un d’eux seulement est donné, et demander quel devrait être l’autre, pour que le mouvement apparent du point, fût un mouvement d’une espèce déterminée.