Page:Annales de mathématiques pures et appliquées, 1823-1824, Tome 14.djvu/317

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se trouvait aussi sur ce plan, on aurait en outre ce qui réduirait l’équation à

équation d’un plan que l’on trouvera passer par le troisième point fixe et être parallèle à la droite qui joint les deux premiers, ainsi que cela doit être.

Si le plan que déterminant les trois points fixes, et dont l’équation est, en général,

était parallèle au plan fixe ; c’est-à-dire, si l’on avait cette équation devrait se réduire simplement à on devrait donc avoir, à la fois,

au moyen de quoi l’équation (1) deviendrait, en substituant et en divisant par

équation commune à deux plans parallèles au plan fixe, ou plutôt à quatre, à raison du double signe dont est susceptible.


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