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Page:Annales de mathématiques pures et appliquées, 1823-1824, Tome 14.djvu/321

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D’après cela, les deux droites et devant concourir au centre de similitude des deux cercles et les quatre points appartiendront à une même circonférence, d’où il suit que les droites et iront concourir en un même point de l’axe radical des deux cercles et et, pour des raisons semblables, les deux droites et iront aussi concourir en un même point de cet axe radical. Pareillement, les deux droites et iront concourir en un point de l’axe radical des deux cercles et et les deux droites et iront concourir en un même point du même axe radical.

De même les droites et iront concourir en un point et les droites et en un point de l’axe radical les droites et iront concourir en un point et les droites et en un point de l’axe radical

On peut remarquer maintenant que la droite que nous nous dispensons de mener, pour ne point trop compliquer la figure, passe par le point En effet, considérons d’abord les trois cercles le point est le centre de similitude externe des deux premiers et le point est le centre de similitude interne du premier et du troisième ; d’où il suit que le centre de similitude interne de et doit être sur la droite ou Considérant ensuite les trois cercles remarquant que est le centre de similitude interne des deux premiers et le centre de similitude externe du premier et du troisième, on en conclura que le centre de similitude interne de et est sur la droite En considérant de même les trois cercles on prouvera que le centre de similitude interne de et est aussi sur d’où on conclura qu’il est à l’intersection de cette droite avec Des raisonnemens semblables serviront à prouver que le centre de similitude externe des deux cercles et est le point intersection des deux droites et d’où il suit que le centre de similitude interne des deux cercles et est sur la droite ou et comme on pourrait prouver également