Page:Annales de mathématiques pures et appliquées, 1823-1824, Tome 14.djvu/385

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ce qui ne saurait avoir lieu qu’autant que les exposans seront tous égaux à l’unité.

En posant donc, pour abréger,

nous aurons, pour la vitesse relative, suivant le premier de nos trois axes, les vitesses relatives suivant les trois axes seront donc respectivement

étant une constante.

Si donc un corps quelconque est sollicité par une force quelconque qui lui imprime une vitesse on aura généralement

sera une constante ; les forces sont donc, toutes choses égales d’ailleurs, proportionnelles aux vitesses quelles impriment.


Nîmes, le 18 août 1823.