Page:Annales de mathématiques pures et appliquées, 1825-1826, Tome 16.djvu/115

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au moyen de quoi le coefficient de se réduit à

Enfin, d’après ce dernier résultat

ou encore (2)

de sorte que le dernier terme se réduit à L’équation réduite est donc finalement

c’est-à-dire exactement la même que la proposée qui, conséquemment doit, comme elle, avoir pour ses trois racines, et

Si l’on avait ou ce qui pourrait être, l’équation deviendrait

ou

elle serait satisfaite par ou on aurait donc ou les trois racines seraient donc

ou

ou bien encore

ou

c’est-à-dire que, dans l’un et dans l’autre cas, elle aurait deux racines égales. On parviendrait à la même conclusion en divisant l’équation par ou par le quotient serait