ou bien
d’où
et, par suite
ce qui donne, en intégrant
c’est-à-dire
équation du cercle. Il restera à déterminer les constantes par les conditions que l’arc se termine à deux points donnés, et que sa longueur entre ces deux points soit égale à
Il est à remarquer qu’ayant dû poser ici
ce sont aussi les mêmes équations que nous aurions posées s’il avait été question d’assigner, parmi les arcs de courbes qui comprennent une aire donnée, celui de moindre longueur ; de sorte que le cercle doit résoudre, à la fois, les deux problèmes. Il est clair, en effet, que si, à longueur égale, le cercle embrasse la plus grande aire, il s’ensuit qu’il contient le plus de surface sous le moindre développement possible ; et, par suite, à aire égale, il aura la moindre longueur.
Proposons-nous encore d’assigner, parmi les courbes isopérimètres, celle qui engendre l’aire de révolution minimum ?
Nous aurons ici l’équation
En faisant