sera alors satisfaite d’elle-même. Nous n’aurons donc plus à nous occuper que des autres, lesquelles deviendront alors
Si l’on donne la courbe séparatrice, on trouvera la trajectoire orthogonale des rayons réfractés, en éliminant et entre les trois équations
Bien convaincus d’ailleurs, par une longue expérience que, dans les calculs, les avantages de la symétrie remportent encore sur ceux de la simplicité, nous supposerons constamment que les données du problème sont disposées, par rapport aux axes, de la manière la plus générale.
III. Supposons, pour premier exemple, que la séparatrice est une droite donnée par l’équation
dans laquelle, comme l’on sait est le pied de la perpendiculaire abaissée de l’origine sur cette droite et la longueur de cette perpendiculaire. Nous aurons
au moyen de quoi l’équation deviendra