Page:Annales de mathématiques pures et appliquées, 1826-1827, Tome 17.djvu/160

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Soient la masse du pendule son moment d’inertie par rapport à un axe idéal, conduit par son centre de gravité, parallèlement à ses axes effectifs, les distances de cet axe idéal aux trois autres ; les longueurs des pendules simples isochrones avec celui-là, pour ses trois points de suspension, seront respectivement (Traité de mécanique de M. Poisson, tom. II, pag. 116.)

de sorte que, si sont les durées respectives des oscillations du pendule, pour ses trois points de suspension, en représentant par la gravité et par la demi-circonférence dont le rayon est l’unité, on aura (Ibid., pag. 117).

c’est-à-dire,

Si l’on pose

d’où

en prenant les différences de ces équations deux à deux, il viendra