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Page:Annales de mathématiques pures et appliquées, 1826-1827, Tome 17.djvu/66

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(3)

est une constante.

En mettant pour dans cette équation, sa valeur tirée de l’équation (1), on aura

(4)

mettant ensuite cette valeur de dans l’équation (2), on aura

(5)

c’est-à-dire,

ce qui donnera, en intégrant,

ou, ce qui revient au même,

(6)

Nous n’ajoutons point de constante, parce que et doivent être zéro en même temps.

En remettant pour sa valeur cette équation donnera

d’où, en intégrant,