Page:Annales de mathématiques pures et appliquées, 1828-1829, Tome 19.djvu/116

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Cette courbe est ce que nous avons appelé (Annales, tom. xviii, pag. 253) la courbe polaire du point dont il s’agit, par rapport à la courbe directrice proposée.

Cette courbe est ce que nous avons appelé (Annales, tom. xviii, pag. 253) la courbe polaire de la droite dont il s’agit, par rapport à la courbe directrice proposée.

Si le point de départ des tangentes est mobile sur une droite ayant pour équation on devra avoir ce qui changera l’équation (6) en celle-ci :

(7)

Si, dans cette équation, on considère comme un paramètre variable, cette équation ne pourra être satisfaite que par les systèmes de valeurs qui satisferont à la fois aux deux suivantes :

(8)

lesquelles expriment deux courbes du (m-1).ième degré, qui se coupent en points seulement ; or, comme l’origine est quelconque, la droite donnée par l’équation est une droite quelconque ; de sorte qu’en invoquant la théorie des polaires réciproques on aura ces deux théorèmes :

THÉORÈME II. les courbes polaires de tous les points d’une droite indéfinie, relatives à une directrice quelconque du m.ième degré, se coupent toutes aux mêmes points fixes.

THÉORÈME II. Les courbes polaires de toutes les droites qui passent par un même point fixe, relatives à une directrice quelconque de m.ième classe, touchent toutes les mêmes droites fixes.

Ces points sont, ce que nous avons appelé (Annales, tom.

Ces droites sont, ce que nous avons appelé (Annales, tom.