Page:Annales de mathématiques pures et appliquées, 1829-1830, Tome 20.djvu/9

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ayant ici la même signification qu’à la pag. 262 du mémoire cité. On pourra d’ailleurs y joindre, comme s’y trouvant implicitement comprise (ibid., pag. 273) l’équation

(3)

dans laquelle représente toujours la vîtesse de la lumière dans le vide.

v. En multipliant par la dernière des équations (2) elle dévient

ce qui donne, en intégrant,

étant la constante arbitraire, cela revient à

mais l’équation (3) donne

éliminant donc entre ces deux équations, nous obtiendrons, pour l’équation différentielle du rayon lumineux,

(4)

Pour faire disparaître la constante désignons par la tan-