Page:Annales de mathématiques pures et appliquées, 1830-1831, Tome 21.djvu/142

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Soit une nouvelle variable. Posons  ; il en résultera

En substituant ces valeurs dans l’équation (1), elle deviendra

et se réduira à

On a donc, sur-le-champ,

et sont les constantes arbitraires. Multipliant par la valeur de , on obtient la valeur de savoir :

Ainsi donc, comme nous l’avons dit, le problème général du mouvement linéaire et permanent de la chaleur se traite sans difficulté, quand on sait le résoudre pour un état particulier des extrémités de la barre.

iv. Mais, si l’on ne connaît pas et que le pouvoir rayonnant au contraire, soit déterminé par un moyen quelconque, il faudra recourir à des calculs d’une autre nature. Une considération qui se présente d’abord nous dirigera dans la marche que nous devons prendre. Nous admettrons que la fonction