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Page:Annales du Musée Guimet, tome 2.djvu/477

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VOCABULAIRE DE L’ANALYSE DU KANDJOUR

Skyurura, plante médicinale recommandée par Çâkya à cause de la saveur âcre de la noix qu’elle porte (Dulva ii, 10-19).
Sman-chen, fils de Purna, du pays de Pûrna-Kaccha (Dulva xi, 321-5).
Sman-pa, le trente-troisième Buddha de « l’Âge heureux » (Mdo i).
Smin-drug-gi-bu, traduction tibétaine du nom de Kârtikeya. Voir ce mot.
Smra-hdod-kyi-seng-ge est éclairé et devient Arhat. Il est déclaré par Çâkya le premier de ceux qui sont éclairés en usant des choses agréables (Dulva iii, 24-25). C’est l’emploi de la mélasse qui paraît lui avoir fait faire un si beau chemin ; — utile dulci !
Smrti jnâna-garbha, traducteur de Rgyud iv, 8o.
Smyug-lo, feuilles de roseau autorisées pour la confection des chaussures (Dulva ii, 1-10).
Snar-thang, monastère voisin de Taçilhumpo, où l’on fait journellement usage des planches exécutées en 1731, et qui ont servi à l’impression de l’exemplaire du Kandjour appartenant à la Société asiatique de Calcutta (Dulva, préliminaires) et sans aucun des exemplaires qui sont à Londres et à Paris.
Nam-mkah-grags, lama de ce monastère, a revu les volumes x et xi du Dulva (Dulva xi, observations finales).
Snan-pa-thog, le dix-septième des mille Buddhas de l’Âge heureux (Mdo i).
Sñig-ma, secte bouddhique la plus ancienne du Tibet, la seule qui fasse grand cas des trois ouvrages formant le volume xx du Rgyud, et dont l’un est traduit du bruja.
Soma-çrî-bhava, traducteur de Rgyud xiv, 33o.
Sor-gdub-rgya, « sceau » ; réglementation à ce sujet, défense d’avoir des anneaux, d’employer des matières précieuses, d’avoir des empreintes trop ornées (Dulva x, 11o).
Spong-byed, ville de l’Inde. Çâkya va de cette ville à Vaïçâlî (Dulva iii, 25).
Spo vahi-Gji, chapitre du « changement », de la « repentance », treizième du Vinaya-vastu (Dulva iii, 291-8).