fau bien] ? Ceux par qui le Sourd et l’Usij livrent le bétail au brutal ; l’Aveugle
qui reste impassible devant le crime"’ et tous ceux qui, pour rien
au monde "^^ ne voudraient faire œuvre de bien.
Z6t et R ;Yspî ensemble :
21. Le bien soit à quiconque fait du bien à âme qui vive ! (Jue Mazda le loul-puissantlui donne [ses dons] ! etc. (XLIII, 1). Asiiem voliù [3 fois).
Nous sacrifions au Hâ Tat thwa peresâ.
Yêiîliê hâtâm.
64. Qui laifisent maltraiter les animaux (cf. Y. XXIX, 1) ; sur le Sourd ou karapan, voir Y. IX, note 55 ; usij, a-a ; ’f^-{ii.viz’t, autre désignation de mécréant ; purement transcrit dans le pehlvi. Le mot usij dans les Védas est une épithète du prêtre, que l’on est généralement convenu de traduire « zélé » ; il semble aussi employé comme nom propre de prêtres mythiques (Berciigne, Religion védique, I, 57 sq. ; II, 322sq.). usij sera peut-être devenu en Iran le mauvais prêtre. 67. yâcà kavà .^nménè nrùdôyatâ : ânménê, a-stùb « non troublé » (voir Y. XXX, 7 i, note 23) ; urùdôyatà, rdnakih dâtâr « donneur de faute » (cf. urûraodha, P. rdnakinU, N. pratyaskhalayam ; Y. I, 59). Litt. « et l’aveugle (Y. IX, note), par qui est péché sans trouble ».
66. mîzen, locution adverbiale, comme usen (note 31) : pun ic mizdu même pour récompense ». Ils ne feraient le bien, selon l’expression anglaise, neilher foi’ love, nor for money. Cf. Y. XXXI, 15, note 58.