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A chacun de ces deux Ahunvars le Zôt prend la coupe supérieure et en verse deux gouttes sur l’Evanghin de telle sorte qu’elles tombent dans la coupe inférieure.
Rituel indien : Au mot gavê, le Zôt touche la table avec le bout du Barsom ; aux mots tàish shyaothanaish, avec la tête 44[3] ; au mot yâish, il touche la coupe à zôhr avec le bout du Barsom ; au mot fraêshyàmahî, avec la tête ; aux mots at ahyâi, il touche la soucoupe placée sur le Hâvan avec le bout du Barsom ; aux mots ashâ, avec la tête.
Rituel irani ; « Au mot gavé, laver le datûsh (pp. 137-138) d’un bout à l’autre (datûsh Barsôm bûn od rôishà halalûntan) ;
« au mot adâish, faire passer (?) un des deux fràgâm derrière le datûsh à gauche ; au mot tâish, faire passer l’autre frâgâm à droite » (je ne saisis pas le sens exact de l’opération. — êvtâk frâgâm min akhari Barsôm datûsh min yadâ hôi lâlâ vitârishn ; zagê datîgar min akhari Barsôm datûsh min yadâ dashan lâlâ vitârishn) ;
« au mot mazdâo, poser le bout du Barsom sur l’urvis (bûni Barsôm ol urvîs anakhtûnishn) ;
« au mot vakhshat, poser la tête du Barsom sur l’urvis » ; puis retourner et poser le bout sur l’urvis » (rôishâ î Barsôm ol urvis anakhtûnishn udatigar bâr bûni Barsôm ol urvîs anakhtûnishn).
Ce nîrang est la contre-partie du nîrang initial de l’âb-zôhr, Hà LXIII, Appendice.