mot, plein de fougue et d’éclat, qui attire et captive par le charme puissant de sa couleur, la grâce des détails, par le sentiment poétique qui déborde de toutes ses compositions. »
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/8/86/Anonyme_-_Eug%C3%A8ne_Fromentin%2C_1905_%28illustr._p._32%29.png/250px-Anonyme_-_Eug%C3%A8ne_Fromentin%2C_1905_%28illustr._p._32%29.png)
M. G. Meneau, disait de son côté, dans le Courrier de La Rochelle, où il écrivait un compte-rendu artistique de cette exposition, après avoir glorifié le Fauconnier arabe : « M. Fromentin est pour l’heure présente un sujet d’admiration et pour la postérité il restera un sujet d’étude, une date dans l’art du xixe siècle. »
Fromentin se reposait de peindre en écrivant. En 1862, il achevait le roman de Dominique, qu’il publiait dans la Revue des Deux-Mondes et qu’il dédiait à George Sand. Ce roman, le premier et le seul qu’il ait écrit et qui fut une des œuvres les plus chères à son cœur, peut-être parce qu’il en avait vécu une partie, eut un grand retentissement dans le monde littéraire et artiste