azimuts de disparition étaient de pour le repos, et de pour le mouvement.
Enfin, dans une troisième série, la disparition, pour l’état de repos, correspondait à et lorsque la faible image se mouvait sur l’autre la disparition avait lieu seulement lorsque cette faible image n’était que L’azimut de disparition était pour le repos de et il devenait pour le mouvement.
Le mouvement imprimé au prisme intérieur lui faisait parcourir les deux tiers de la longueur de la lunette en une à deux secondes de temps le déplacement angulaire correspondant de l’image faible sur l’image forte, dans le même intervalle de temps, était de le disque tout entier sous-tendant un angle de Dans les déplacements de la seconde image sur la première, la vitesse était donc de par seconde.
Je ne chercherai pas ici à expliquer comment la sensibilité de l’œil correspondant à l’état de repos a été si différente dans ces trois séries d’expériences. C’est là un phénomène physiologique sur lequel il y aura à revenir.
Ajoutons, comme renseignement propre à faire juger de l’obscurité du champ, que l’image faible, lorsqu’elle se projetait en dehors de l’image forte, a disparu quand son intensité était de
M. Bessel n’admettait pas le résultat que toutes ces expériences démontrent d’une manière certaine ; il niait surtout la part que je lui ai attribuée sur la visibilité des étoiles en plein jour avec des lunettes d’un grand pouvoir amplificatif. Il objectait que les images de ces astres se
