Page:Archives israelites 1851 tome12.djvu/131

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

taanwras. M1 'perï de ne eaüolhœçur. le 1|o•vet¤e¤tg6¤éraldel’|¤ia· |ei·e•Iti¤pie,=l•I réeuitataleclraqne grande période daplœ nùeçwseoiite œdéuadeeee navale :· le mal sur le ànp de·l’listeiro, et»‘·la·térit6¤eprnd sa qfàda rares intervales, plr ice enuya rletbéttre, cure à ·la farce lahaie; cette theorie aeeptiqle, inpiei los çeurqli euh daaelïnnpleldehvielenee ~l•eeul remedei|adégéü·eaee•er·d• Pwèee huuieineet aux échecs du bien, çi n’a·quedeI $6- ëet-ionspot1rletettspspm·ére¤t« et |)hl8¢I¢0I'0P¢EI'l’IÉ’l",¢I% naguère prefessée enpleine tribune de l’Esp¤g••, et un une éclat, par M. Donoso Cortèe, le Manealetnbert de lepertittaule. La phüoaopbie ·po•e et résout tout autremmt le probleme dela destinée des soeiérés: elle rait dans le déveleppamenadea faits historiques celui des facultés mène: de Phomme et lœmolt ütines ee @£ester is progres de l’eaprit sur la. matiere, de la Bherté-sur le fatalitéyde la raison sur la superstition, de la cb•· rité stt Pàoüue; les divisions et les haines intestines aiatü- nuantpeu ~à peu, le sentiment de la solidarité Élu devenait dehu en jour plus vil', la marche de l’huuuité·da¤e•ant~de plus en plus uniforme vera l’uuité murale etreligieuae, tout cela est comprit dans la —loi du progrès.

 l'a entendu M. Lœtuleiu, qui a cru tnonser dans lari·

sion à un cadre à la fois vaste et eommode, et qui a un de résumer par un grand elïet mute: les eonoidéaatinns quiprécèdœt. - e _ _ Peut-ètre ai-t-il trap eompté sur Pnneellngence du Jeetœr, peut-étre, comme on l’a-fait observer. le sujet de nette eom|1o- aition est-il trop abstrait, tmp métaphysique, et à uraintent parler, nous ne savons si la- peinture est iaite pour expri· uerdes idées qui semblent prêter si pœ par ellea~¤êmes·a| dessin et à la couleur; il n’y aurait rien d’eto¤nant .à ·ee Qt Il.·L8t|lein eût·le défaut de- ses quaiirés, et nu¤s.prenens.Eex· treme liberœ de lui recommander d’aborder.dé•et·mai•le•`¤!.1H¤ pluseiotellülies par e•x·mêmes . En engageant M. Laemlein i ne défier un pen du aujers philosophiques, eelai qtdtrritieu lignes pense a’etre pas suspect, mais il croit. deroirnalns énon- tu ses préférences que leseondirione de l’art et leaezigeneesdn publie, qui en deüaitiveest le suprême arbitre —des—œtwres diart. - IH y a peuuaut dam ce tableau _des ~qu alités plœtiqoes du premier ordre. M. Tb. Gautier, critique si eempétent, a ditaln pei¤ere.1]ui:l’a.eetuç·u: Je ne sans fil a dnmnlant., mais ai mp oh Sim du Un eeléioge compense bien des eritiqtarm Il ialltllt nnereritable mme pour ieter sur la toile une sigigau- tnsqee idée, sans deeumem précis, de acariens, aan•·autre·apréperation que qudques eeoquisfaits 1tl?qJr~ü··•a- . t are; le dessin est ferme et concis, lesstêpea une du eanœele,