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tea ancutvus Nous allons faire suivre icl oe ne Philou, dans son traité ds

  • la maxime: s Que tout homme retligieux est libre n, aétabli sur

le sujet ci-dessus exposé, nous fait jeter un regard dans ls mode de leurs exercices re igieux. Le passage y relatif est ainsi conçu: ‘ · s Arrivés aux saints endroits (de la célébration divine. de la prière et des entretiens édlllants) nommés synugogues, ils pren- nent place suivant leur âge, les plus jaunes au-dessousdss plus agés, et se conduisent comme auditeurs avec une dignité noué vanable. Ensuite l’nn d’entre eux lit a haute voi: une partis da la 8aiute·Écriture, dont un autre, des plus capables, expliqua lm passages mystérieux; car la plus grande partie de la philoso- _· phie est enseignée chez eux en al égories suivant un ancien usage. Ils s’instruisent réciproquement dans le culte divin, dans la science du droit et de Pagricultnre, et en celle de l’ɤt, en celle du bien et du mal absolu et des choses indilîérentes, aimi que dans la science de choisir le mieux et d’éviter le contraire. La··dedans ils se servent d’nn triple principe fondamental: L’a·» maur de Dieu, l’amour de la verra et l’amoru• des hommes. s Nous pourrions a présent arréter ici notre recherche sur les Esséniens et passer a l’examen des institutions des Thérapoutss, si nous ne voulions pas y ajouter encore quelques pensé•s·ex—· qulses, quelques règles fondamentales et des leçons de morale pui» sées dans le grand trésor connu sous le nom de Ssntsuees des ancêtres qu’on rencontre dans le Talmud: le contenu et Pupmae sion particulière nous font supposer qu’ellos ont une origine essénienne ; nous les avons placées suivant Poudre dans lequel elles se trouvent dans l’œuvre originale. _ " Its sect. 5 10. « Aime le travail, fuis les honneurs et ne sois pas impor- tun chez les grands. s ll. 5 15 et 16.« Le jour est court, le travail considérable, les ouvriers sont gndclents, la récompense est grande et le cher de la maison y excite sérieu- sement. Vous n’étes pas, il est vrai, chargés d’aebevsl· le travail, mais vous n’aver pas non plus la liberté de vous y soustraire entierement. A mesure que vous aurez beaucoup étudié la sainte doctrine, vous obtiendrez aussi beaucoup de récompenses. La Seigneur dont vous aceomplissez rceuvrc est Ildéle ausst pour vous accorder la récompense de votre ouvrage. Mais son- Vî¤ll$·l0î tlue la récompense du juste n*aura lien que dans la vie mtnrea IV. $1. e Qui est un (vrai) sage P Celui qui apprend de chacun. - Qllî W Püullle et llî se com ose des trois ver et u‘o r ' l ea-. de nant, asp. ..‘Z V. si, za a ca,‘a§p‘larè‘S aiâ$2‘àiia‘â°:£‘mîrEÉÈ et les doigts sont places ensemble de maniere qu’lls‘tormcnt plusieurs triangles, ainsl qu ll est visible dans la figure qui présente deux malus dont les doigts sont attaches deux a douai et les deux onces se touchent. Cela s’accorde fort bien avec Vextralt cl-dessus du plotessear Wuasci.