Page:Archives israelites 1851 tome12.djvu/55

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

matures. as IIÃÈQBÉCS qllû IIlDD.SQlgl|BQI' IVBQ WW ÈTÈÉ ÃOHW îlV3llL engagées S 3CCOID})3gl10I` lBU!' lllüflt _ _} Ifévéque, malgré sessoixante-quatre hns, était bien conserve; Sü ûgtlfê 118 `l.I'l€lHqU3ll. [135 (lê fl`3îCl]BLll`,, SQS BIICVGUX blâllçü pl'0·· (l.ttlS£-llûllli liêllêll (IC la neige &|,l SOIDIDBL dillllû |IlQ·|li·Ig|€ dûllli le bas _et_`le milieu Sttllt couverts d’une verdoyante végétation. ll était alïablo et gai. Le soir il annonça aux ütlèles que S3 Seill- [0I.é le |)3|€ Àlt:X3ll(ll`8 avait d3lgI1É_ ï|CC()·l`d€i" à J8lIl·CiSîlIllI`, _3llCl§l1 Cüllllllül Ci. jÉSl1ll.8, üûillüllèlllûlll roi JB POIQQIIB, le glo- l`l€l1X IÃCFB (16 ROI OBTHODOXE. Les lllïlléâ S8 l'Éj0ülSSâÀll( et Y ïûïâlêlll UD IIOUYBBU IZI`l0lIlph€ p0Ul' la V|`3j6 l'8llglQll· Ils 8’él0Ã" gnèrent en . remerciant monseîgneur de leur avoir communiqué .0€I.l.8 l)0IlIl8 IIOIIVBHS B]; Siüll l`€lOlll‘IlèI`Bll( blûll WEB Chûl BUX, [)0UI‘ Bil fûlfû PRN. il d’3lllI'BS Cûlhûllqtltflâ plB|1X· Bientôt le salonfut vide, il n'y resta qu’e l’évêque et le supé- l'l€li` dll COBVBPI (IBS C3I`Il'léll(€8« HVBG ]£(|DBl H05 lBC[BlI‘8_0I]lS déjà lîtli COIIDEIÃSSZIIICG ill] COIDIDIZIICCIIHJIH du CB Fëüll. ·······v0W BVOZ qllêlqtlü Cl10S& S IDG (lift}, (BOU ülâ Y lui tlûlllillil l'ÉVÈ(]lIB. Quand tout le mende sort tl’ici satisfait, vous etes pensif et votre ll‘0lll. sévère DC St} tîlêïltlü pllS. zll0llS, est—co EDCOFB (]lI€l.(]l8 BI)- ftmtill.a.ge.du comte Potocki qui vous rend si soucieux? Le vieux don Jnan,`apr'ès avoir subjuguê les plus belles filles de la Li- thuanie, soupire-t-il toujours aux pieds d’une juive? Racontez- moi cette l1istqir.e, je vous prie, cela m’amusera, mais n.’aswm·—— brissez. pas les couleurs du tableau :d’une farce, je vous en prie, ne faites pas un drame. _ J ·······M0llS€lgll€U l°, Gûlîl BS! plllâ QFIYB QUE VOUS BB |)0}Y8Z.lB croire au premier coup d’œil. La juive qui vend son corps au comte est la [ille d’un rabbin fanatique. Elle suit ses ÃHSDÃTP tions Bl S8 sert (ll] COIIIÈB 60l]]|'|l€ (lill!] lllSIlI‘|.l|I16llll p0�l' 60m" battre la vraie religion. — Comment ce a'! , ·-— Ge n’est pas de l’or que demande la fille juive en echange de SOI! 3VlllSS8|I|8l1l. Ses lIlf3IDl€S SOIII payées par (IBS 0llU’3g€S È l’êgIise. Les prêtres ne sont plus respectés; le comte ne püïôîî plus dans la maison du Seigneur qui tombe en ruines faute de SECOUFS. Les jllfS 3([lI‘ÉS È wûfkl y SOI]! [)l”Oi·ég,ÉS BI I`éCOIIlp€B··· ses. Là ne se borne pas l’i ni]uence magique de cette femme; le (30ïl]lB Hliïlbllü IOIJS les IDM]! dll à lillilûléfânûû du GlB|‘§É· L3 QUBITB Sallllü COIIIPB les SllÉ(l0lS protestants, CQIIÉFG les BUSSBS SChlSI1l3Il(]ll€8, COBII`8 IBS. TUTCS illüdèlûâ, BH BMJBIÉB pû? Iii guerre anti-ïnationale qui .doit perdre la Pologne pour le ben plaisir dll |I)Zlp€ BI (185 ÉYÉQUGS. É ·······«Ell Emil; U`@·§I`«iIV€, dll Vêïaêqlll Bl) BC IBYIBL ····· Vous HOW BBBQBSBZ BIN hüllïülilü BOUVQHBL désçrtpats la Pologne marchera au premier rang des natàsns