Page:Archives israelites 1851 tome12.djvu/630

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

Go ncnvn . temps quiconrt, estaassi un hiérogvphe, hélas! l‘ùt·il @·@ ·~en tomes lettres, avec ponctuation et accents toniques! A droiœet à gauche du hékhal sa trouvent les stalles du ·Gra¤d-·Rabhin et du président du Consistoire. L’autorité spiri- tuelle d’un coté, Pautorité administrative de l’autre.- En voyant le bras religieux et le bras séculier s"unir ainsi pour sauvegarder `la loi divine, le verset du Psalmiste m’est revenu involontaire- 3mœtà la mémoire: 'I1331 WIP î‘l`7ttDtD3 î'tJ*¤*3 ¤*¤• Ttbt. Pas n’est besoin de _vous dire que cet heureux tabernacle pos.- —·sède aussi un magnifique assortiment de rideaux (parokhoth) dus, vla plupart, à la piété individuelle, et dont plusieurs éhlouisscnt letyenx par un luxe inouï, on peut même dire exagéré. Ainsi, â. l‘une des fêtes dernières, on en admirait un qui était, non pas 'hrodé, mais tapissé d’or. Une autre fois j’en ai remarquéun somptueux et plein de goût d’ailleurs , mais où l’artiste s’était ravieé de camper, au pied des dix Commandements, deux grimms îantastiques, gardiens de ces nouvelles pommes d’or. La plaisan- terie est un pen forte. .I’ai toujours cru que le Décalogue défen- dait lœ images; il paraît qu’aujourd’hui ce sont les imagesqtui défendent le Décalogue. Et quelles images. 1... — le vous parlais plus haut des couloirs; mais je n"ai rien dit des bnœ, qui sont très·nombreu·x et conséquenument très-rap» proclaés. Il en résulte une certaine gêne dont la petite coterie aoû-cousisteriale (il y en a une ici comme ailleurs) n’a pas man- ·qué de se prévaloir. a Comment pouvons-nous faire D1‘7tU HUI}! —-hs trois pas en arrière qui terminent l’A.midah-‘!n Ré- pnœ: WIP'! l'l*B1¤5 ‘7!B¤ bt*tJU.Bonncs gens.! lisez la lin de la formule: 11*511 D1`71U l'l1DD* R1ï1. «Que Dieu nous donne_la ·· à4¤u—sl » Et c’est à propos d’un vœu pareil que vous déclarez la guerre l Eh bien l je veux vous tirer d’embarras . Si le minimun ~dc;recu~luigé par la règle (Zip! *123 `T'11.1) vous est impossible enligne droite. wml; ligne oblique ;, si cela vous gêne encore, lisez attentivement »l’Oraob·Chayyten et ses commentateurs (§ 123), st croyez que le l'l"3 et le tt"3¤'t étaient aussireligieut qm vou. —-· La dëliculté de se prosterner dans les ¤¥tt'l1J ¤*¤* coniituerait une objection plus grave; mais ceci n’est qu’un