Page:Aristide Briand-La Grève générale et la Révolution-1932.djvu/7

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tionnaire. Cependant, le citoyen Briand a tenu à y ajouter ceux que la limitation de temps imposée aux orateurs ne lui avait pas permis de développer.

Tel que nous le publions, ce discours est maintenant un plaidoyer irrésistible en faveur de la Grève générale. Nous ne saurions trop engager les travailleurs à le lire et à le méditer.

Ils y puiseront énergie et confiance en y trouvant, lumineusement indiquée, la voie qui mène à l’Émancipation.

Vive la Grève Générale !

LE COMITÉ.