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Page:Aristophane - Lysistrata (trad. Raoul Vèze), 1928.djvu/83

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QUATRIÈME FEMME

Et moi, malheureuse, je ne peux plus fermer l’œil à cause des chouettes qui hululent toute la nuit.

LYSISTRATA

Ô misérables, finissez-en avec tous ces contes. Ce sont vos hommes que vous voulez toutes. Et pensez-vous donc que nous ne leur manquons pas à eux ? J’en