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Page:Aristote - La Morale d’Aristote, Ladrange, 1856.djvu/369

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DKS CHAPITIIKS. d:rr

hicoiupatiblcs. — Nouveau portrait de riiitcmpérant, — L'intempérance naturelle est plus dilîicile à guérir ((ue l'intempérance résultant de l'habitude. — Uésumé des théories sm- l'intempérance.

Chapitre XI. — Il importe au philosophe qui étudie la science politique, de counaître à fond la nature du ])hiisir et de la douleur. — Le plaisir est-il un bien ? Est- il le bien suprême ? Arguments en sens divers sur cette question. — Des espèces et des causes du plaisir. Réponse 'aux diverses objections faites contre le plaisir. Le sage fuit les plaisirs qui ne sont pas des plaisirs absolument, et qui sont accompagnés d'un mélange de douleur.

C.HAPrrRE XII. — Opinions communes sur la douleur et le plaisir, que l'on confond avec le mal et le l)ien : erreur de Speusippe. — Rapports du plaisir et du bonheur; dangers d'une excessive prospérité. Le bonheur est le développement complet de toutes nos facultés : et l'activité est elle-même un réel plaisir.

Chapitre XIII. — Des plaisirs du corps. Fausses théories sur ce sujet; il ne faut pas proscrire les plaisirs du corps absolument; mais il faut les restreindre dans les limites oîi ils sont nécessaires. — Cause de l'erreur qui fait prendre les plaisirs du corps pour les seuls plaisirs; ils nous consolent souvent de nos chagrins. La jeunesse. Les tempéraments mélancoliques. — Nature de l'homme, qui a besoin de changement. Dieu seul dans sa perfection ne change jamais. Le méchant aime h changer sans cesse, — Fin de la théorie du plaisir.

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