Page:Aristote - Traités des parties des animaux et de la marche des animaux, tome I, 1885.djvu/211

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

Traité de la Respiration, cité dans le livre III, ch. VI, § 2, et dans le livre IV, ch. XIII, § 9, sur le refroidissement que les branchies apportent dans la constitution des poissons, et sur la nature et l’organisation des branchies.

Problèmes, cités une fois, livre III, ch. XV, § 2, sur la présure en général et sur celle du lièvre spécialement.

Marche des Animaux, citée trois fois, livre IV, ch. II, § 1 et § 14, et ch. XIII, § 6, sur les flexions et les jointures, et sur les serpents et les poissons, qui, les uns et les autres, sont également dépourvus de pieds.

Traité du Mouvement dans les Animaux, cité une fois dans le livre IV, ch. XIII, § 6, en même temps que le traité de la Marche, ou Locomotion, des Animaux. Ces deux traités, parfois confondus, sont profondément distincts, comme on le peut voir plus loin dans la Dissertation sur la composition de ce dernier traité.

Voilà pour les citations que le traité des Parties des Animaux peut faire des autres ouvrages d’Aristote. Quant aux citations inverses, c’est-à-dire les citations faites du traité des Parties par d’autres ouvrages, il n’y en a que deux ; et même la première n’est qu’une allusion ; mais cette allusion au livre I du traité de la Génération des Animaux, ch. I, § 1, est tellement évidente qu’elle peut compter pour une citation explicite, puisque dans ce passage Aristote résume de la manière la plus exacte l’ensemble des études qui composent le traité des Parties. Le second passage est une citation formelle, livre V, ch. III, § 5, sur la fonction des poils donnés par la nature à certains animaux.