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VIII

Le Maëlstrom.


Sita s’avança au-devant de ses hôtes leur fit l’accueil le plus gracieux. Corcoran les présenta et expliqua en peu de mots les liens de parenté qui l’unissaient à Quaterquem.

« À toi maintenant de parler, dit-il en se tournant vers lui, et de nous dire comment tu nous arrives par le chemin des airs.

— Mon histoire est un peu longue, répliqua Quaterquem, mais je l’abrégerai. La dernière fois que je t’ai vu, c’était à Paris, je crois, dans la rue des Saints-Pères, il y a quatre ans. Je cherchais alors le moyen de diriger les ballons, et j’étais un pauvre diable, vivant de peu, mangeant du pain rassis, buvant l’eau des fontaines publiques,