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XXXVII
BIBLIOGRAPHIE CRITIQUE : ARTICLES ET ÉTUDES

Orientalisches in der altfranzösischen erzählenden Dichtung. Zs. f. fr. Spr. u. Lit., LI (1928), 255–93 (surtout 271–80).

Contre l’hypothèse de l’origine orientale et le rapprochement proposé par L. Jordan avec les Mille et une nuits : il n’y a là qu’un thème romanesque banal en Occident comme en Orient ; sur l’existence d’esclaves sarrasins en France aux xiiexiiie s. ; et encore sur des noms orientaux dans la littérature française au moyen-âge.

J. Schlickum, Die Wortstellung in der altfranzösischen Dichtung « Aucassin et Nicolete » ; Heilbronn, 1882 (Französische Studien, III, 3, 177–222).

Alfred Schulze, Archiv. f. d. Studium d. n. Spr. u. Lit., 84 (1890), 455. Compte rendu de la 3e édition Suchier.

Remarques sur escole avec renvoi à Claris, 36, 961, 7710.

Ibid., 102 (1899), 224. Compte rendu de la 4e édition Suchier.

Rétablit à I 2 la lecture antif et réunit des exemples du couple viel et antif ; nouveaux exemples de escole (Renclus Miserere XXVIII, Carité XXXV 9, Claris 7246, Dolopathos 3926, Chrétien Cligès 1028, 2292).

F. Settegast, Die Odyssee oder die Sage der heimkehrenden Gatten als Quelle mitteralterlichen Dichtung. Zs. f. rom. Phil., XXXIX (1918), 266–329.

P. 282–90 : II. Die Odyssee im « Aucassin ». On y voit, entre autres fantaisies, que Torelore est le pays des Lotophages (Loto>Tolo, etc.), mais garde aussi les traits du pays des Phéaciens, et que Nicole est Nausicaa (>*Nicausa>Nicole).

Werner SÖDERHJELM, La nouvelle française au XVe siècle ; Paris, 1910 (Bibl. du XVe s., XII).

P. 8–15 : étude littéraire.

Hermann Suchier, Zs. f. rom. Phil., XIV (1890), 175.

Sur cateron corrigé en teteron (de tetta) d’après une suggestion de H. Andresen ; sur soïsté considéré comme trisyllabique en raison des graphies telles que soiesté.

Zu Aucassin und Nicolette. Zs. f. rom. Phil., XXX (1906), 513–21.

Discussion des Randglossen de W. Foerster.