Vien, amie, je te proi !
Ou monter vaurroie droit
Douce suer, com me plairoit
Se monter pooie droit
XXVII rubrique se can — 19 delés le rive S.
XXVIII 3 Pas de lacune apparente dans le ms. ; pourtant l’auteur devait parler ici des marchands dont il est question l. 4 et 12 ; S suppose un bourdon qu’il corrige ainsi : selonc [le rive. Et Aucassins vit passer une nef, s’i aperçut les marceans qui sigloient tot pres de] le rive ; B préfère rive. [Et Aucassins esgarda par devers la mer, si vit une nef de marceans qui nageoient pres de le rive.] Il — 5 les missent Foerster S, mais Aucassin parle seul pour lui et son amie ; il n’est pas indispensable de dire expressément qu’il traite aussi pour son amie ; le pourrait d’ailleurs être lu lé, cf. XII 21, XXII 17 et Introduction, p. XIX — la première lettre de furent est effacée. — 10 demanda Aucassins quex Foerster S ; le sens est évident et l’addition inutile, cf. note à XXIV 45–6, — c’estot, en fin de ligne, les deux dernières lettres au-dessus de la ligne — 20 vint e le
XXIX 12 Une déchirure au coin du f. 78 a presque complètement enlevé les dernières lettres après ances ; la leçon adoptée est celle de PB, S propose ancestre ains tint
XXX rubrique faboient — 17 pomes, PB corr., puns S, cf. XXXI 7.
XXXI rubrique cant — 6 fromage
XXXII 11 mi — 12 Enne PS, cf. X 70 — 18 Aucassins — a ueus son P — 20 nie lie
XXXIV 1 G. Paris a supposé ici une lacune s’étendant sur un morceau en prose et un en vers, qui auraient conté comment Aucassin avait prévenu les mauvais desseins du roi de Torelore en le chassant et comment il était resté maître du château ; ainsi l’incident commencé aux §§ XXXII et XXXIII aurait eu son développement naturel ; mais cet incident n’est-il pas suffisamment clos par la déclaration de Nicolete que rien pour elle ne vaut l’amour d’Aucassin ? L’hypothèse de G. Paris trouvait un appui dans l’apparente confusion du début de XXXIV : cette confu-